VersetMatthieu 18:7 Malheur au monde à cause des scandales! Car il est nécessaire qu'il arrive des scandales; mais malheur à l'homme par qui le scandale arrive!- Français Bible Louis Segond - fls
malheurĂ celui par qui le scandale arrive Sens : Mieux vaut ne pas se faire remarquer au risque d'en subir les consĂ©quences Origine : Cette expression prend son origine en 63 apr. J.-C. et est directement tirĂ©e de l'Ăvangile oĂč Saint-Luc rapporte les paroles du Christ (XVII, 1). TrĂšs peu usitĂ©e, elle s'emploie principalement dans un
Pascelui de la masse, de la foule de ses cris. Rappelons-nous ces mots qui restent de bon sens, Malheur Ă celui par qui le scandale arrive. Laissons agir les juges en toute indĂ©pendance, Sans intervention, manipulation, dĂ©rive. Malheur Ă tous ceux qui sâĂ©rigent en justiciers, Ils auront Ă rĂ©pondre de leurs ignominies.
Vay Tiá»n Nhanh. De Johnny patcheko Je vous demande pardon PrĂ©sident PASCAL AFFI N'GUESSAN Longtemps j'ai hĂ©sitĂ© avant de me dĂ©cider, parce que depuis 2015 j'ai Ă©tĂ© l'Ă©lĂ©ment dĂ©clencheur de toutes les hostilitĂ©s contre votre honneur et votre honorabilitĂ©. Parce que je vous ai insultĂ© comme jamais j'aurais admis qu'on insulte mon propre gĂ©niteur, parce que je vous ai traĂźnĂ© dans la boue en disant de vous que vous ĂȘtes un sale traĂźtre, en me faisant le relais de cette pensĂ©e qui sortait des laboratoires de ceux qui n'ont jamais acceptĂ©s, que le prĂ©sident LAURENT GBAGBO face de vous son successeur Ă la tĂȘte de votre illustre parti. Mais comme aimait le dire le prĂ©sident lui-mĂȘme, le temps c'est l'autre nom de Dieu. Le temps m'a fait voir, m'a fait toucher et m'a fait comprendre beaucoup de choses. Et aujourd'hui je suis Ă mĂȘme de clamer votre innocence face Ă cet acharnement injustifiĂ© de la part de vos amis d'hier. - Ils diront que vous avez toujours Ă©tĂ© un traĂźtre, parce que venant prĂ©senter contre vous une candidature de Laurent Gbagbo, vous avez dit que l'homme politique Gbagbo ne procĂšde pas de la sorte. - Ils diront que vous ne rendez jamais visite Ă Laurent Gbagbo sans dire que vous avez toujours demandĂ© Ă rendre visite au prĂ©sident, ayant mĂȘme fait lĂ©galement votre demande, et que certaines personnes vont jusqu'Ă menacer le prĂ©sident de ne plus lui porter assistance Ă la CPI, s'il rĂ©pondait favorablement Ă votre requĂȘte. - Ils diront que vous dialoguez avec le prĂ©sident Alassane Ouattara, sans dire que le > a toujours Ă©tĂ© la philosophie du FPI, instaurĂ©e par Laurent Gbagbo lui-mĂȘme. Le prĂ©sident Gbagbo est allĂ© jusqu'Ă dire qu'il ne mettra jamais de prĂ©alable, lorsqu'il s'agit de discuter avec un adversaire politique. Car quand on fait le choix de la non violence en politique selon lui, on choisi la discussion permanente. - Ils diront que vous ne rendez pas visite Ă Simone Gbagbo, sans dire que vous avez dĂ©pĂȘchĂ© une dĂ©lĂ©gation avec Ă sa tĂȘte Konate Navigue, afin de lui signifier votre souhait de la rencontrer, et que Simone Ehivet Gbagbo Officiel aurait souhaitĂ©e que les tensions s'apaisent, et qu'elle y voit de plus prĂšs la provenance de tout ce tourbillon dans le parti, afin de vous parler en dernier ressort. Ils diront que vous avez Ă©tĂ© reçu par le prĂ©sident français François Hollande, et que le combat du FPI Ă©tait un combat contre la France, sans dire que le prĂ©sident GBAGBO LAURENT a Ă©tĂ© le premier a demandĂ© Ă feu Miaka Ouretto d'engager les discussions avec l'ĂlysĂ©e â PrĂ©sidence de la RĂ©publique française pendant que vous Ă©tiez en prison dans le nord du pays. Ce que Miaka fit dĂšs sa sortie de la Cour pĂ©nale internationale - CPI. - Ils diront que vous avez fait enfermer vos camarades, sans jamais dire qui vous avez fait enfermer, et comment vous l'avez fait dans un pays oĂč vous avez perdu tous les procĂšs contre Nadi Bamba dans la guerre pour le contrĂŽle du parti. Alors que si l'on devait parler de collaborateurs enfermĂ©s, l'on allait plutĂŽt chercher Ă savoir qui a livrĂ© le commandant ABEHI d'abord au ministre Hamed BAKAYOKO puis au pouvoir d'Abidjan. Mais cela les intĂ©resse peu. - Ils diront que vous utilisez votre propre image pour les pagnes FPI, sans dire que ceux sont les mĂȘmes qui profitent de leurs proximitĂ©s circonstancielles avec le prĂ©sident pour vous interdire d'utiliser son image sous menace de procĂšs. Alors prĂ©sident je sais que la conspiration contre vous est gigantesque et a prie des proportions que certains partisans du combat de Laurent Gbagbo n'imaginent mĂȘme pas. Mais je me sentirais coupable Ă jamais si je continue de vous agresser, alors que je sais ce que les autres ne savent pas. C'est moi qui vous ai livrĂ© Ă la vindicte populaire, c'est donc Ă moi de vous rĂ©tablir. Je mesure toutes les difficultĂ©s que je rencontrerais dans ce choix de votre personne, mais sachez qu'au nom de la vĂ©ritĂ© je ne vous abandonnerai jamais. Merci
par Jean-Marc Bourdin Notre Ă©poque vit un Ă©trange renversement, comme si de nombreux faits convergeaient pour donner raison aux prophĂštes de malheur. ProphĂštes qui, au demeurant, ont toujours annoncĂ© les dangers dans lâespoir dâune prise de conscience qui permettrait de les Ă©viter. Dâun certain point de vue, la maĂźtrise de risques que lâon cartographie pour mieux les mettre sous contrĂŽle, aujourdâhui dans les entreprises comme dans les organismes publics, se prĂ©sente comme un point dâĂ©quilibre contemporain. Hans Jonas et son principe responsabilitĂ© » ainsi que Jean-Pierre Dupuy en tant que promoteur du catastrophisme Ă©clairĂ© » ont conceptualisĂ© pour la planĂšte ce que les risk managers, contrĂŽleurs internes et autres auditeurs rĂ©pertorient et tentent de contenir dans toutes les organisations. Quant aux particuliers, ils sont assurĂ©s dâoffice par des organismes publics de sĂ©curitĂ© sociale ou incitĂ©s Ă le faire par des mutuelles ou des sociĂ©tĂ©s dâassurance. Et des conseils les appellent Ă la vigilance pour limiter les risques alimentation, tabagie, alcool, phĂ©nomĂšnes mĂ©tĂ©orologiques, pollution atmosphĂ©rique⊠MalgrĂ© ou peut-ĂȘtre paradoxalement en raison de ces efforts prudentiels censĂ©s nous rassurer sur la persĂ©vĂ©rance de nos ĂȘtres qui se rĂ©pandent partout, lâavenir est en train de changer de statut un temps lieu du progrĂšs indĂ©fini des sciences et techniques, de lâĂ©conomie marchande et des droits de lâhomme, il semble ĂȘtre devenu celui des pĂ©rils mortels de lâhumanitĂ©, entre retour de la guerre et des Ă©tats de violence, menaces Ă©cologiques multiples et technologies du trans- ou du post-humain. Ce retournement de tendance apparaĂźt dâun coup inĂ©luctable quand les gouvernants, les banquiers et les militaires sâingĂ©nient Ă multiplier et aggraver tout dâun coup les risques dont ils devraient limiter la frĂ©quence et la gravitĂ©. Et il vient de trouver son incarnation en la personne de Donald Trump qui, tout Ă la fois, prĂ©tend protĂ©ger sa population contre toutes les autres mais entend aussi lâexposer Ă tous les risques par ses initiatives. Le milliardaire a fait du scandale sa marque de fabrique, comme ces artistes de lâavant-garde qui cherchent dĂ©libĂ©rĂ©ment Ă se faire rejeter dâabord pour ensuite gagner la reconnaissance, voire la postĂ©ritĂ©. Issu de la tĂ©lĂ©rĂ©alitĂ©, il sait que la provocation la plus outranciĂšre dĂ©clenche la polĂ©mique, laquelle confĂšre et renforce dĂ©sormais la notoriĂ©tĂ© de la maniĂšre la plus facile elle nâexige ni la perfection, ni lâexcellence pour se faire remarquer ; il suffit de se planter lĂ comme obstacle Ă la biensĂ©ance. Le mĂ©pris de la vĂ©ritĂ© est prĂ©sentĂ© comme le comble du rĂ©alisme. JusquâĂ prĂ©sent, tout cela Ă©tait cantonnĂ© Ă la virtualitĂ© dâun spectacle tĂ©lĂ©visuel. Voici que, par un coup du sort permis par le processus de sĂ©lection du prĂ©sident des Ătats-Unis, lâoutrance devient le principe de lâaction publique. Dans un pays qui sâest construit par lâintĂ©gration continue de migrants et fut fondĂ© par des Puritains expulsĂ©s de Grande-Bretagne, est dĂ©crĂ©tĂ©e lâexclusion de lâĂ©tranger, le proche mexicain comme le lointain rĂ©fugiĂ© en provenance de pays musulmans en guerre. La contrĂ©e de la libertĂ© de la presse a conduit Ă sa tĂȘte un prĂ©sident qui fustige les mĂ©dias accusĂ©s de lui ĂȘtre hostiles. Le test ultime de la capacitĂ© de rĂ©sistance de la dĂ©mocratie en AmĂ©rique est en train de se mettre en place les associations commencent Ă interpeller le pouvoir judiciaire sur ce qui leur paraĂźt ĂȘtre des abus de pouvoir ; le droit va-t-il alors encore ĂȘtre en mesure de contenir la force ? Le bilan des consĂ©quences possibles Ă moyen et long terme des premiers messages Ă©mis est impressionnant elles semblent ĂȘtre ignorĂ©es au profit dâune communication politique immĂ©diate. Ainsi de lâinterdiction du territoire imposĂ©e aux ressortissants de sept pays musulmans elle condamne la possibilitĂ© dâun rapprochement avec lâIran, pourtant indispensable Ă la lutte contre Daech, et oblige les interprĂštes irakiens, plus tous ceux qui ont luttĂ© aux cĂŽtĂ©s des AmĂ©ricains, Ă abandonner tout rĂȘve dâĂ©mancipation aux Ătats-Unis pour eux-mĂȘmes et pour leur famille ; leurs Ă©mules potentiels rĂ©flĂ©chiront dans lâavenir Ă deux fois pour sâengager dans de pareilles aventures. Quant aux mesures protectionnistes censĂ©es lutter contre le chĂŽmage dans un pays de plein-emploi mais de bas salaires, elles ne vont probablement pas augmenter lâemploi ni les salaires, mais elles vont Ă coup sĂ»r diminuer le pouvoir dâachat Ă la fois par la taxation des produits importĂ©s et par la substitution de produits made in USA fabriquĂ©s Ă des coĂ»ts plus Ă©levĂ©s. Enfin, le retrait ainsi amorcĂ© des Ă©changes internationaux devrait avoir pour consĂ©quence la limitation accĂ©lĂ©rĂ©e de la place du dollar dans les transactions entre Ă©conomies nationales au profit de lâeuro et du yuan or la place du dollar en tant que devise internationale dominante est ce qui permet au pays de ne pas avoir Ă assumer ses dĂ©ficits commercial et budgĂ©taire. Bref America first » peut-ĂȘtre, mais une AmĂ©rique qui se prive des moyens historiques de sa puissance militaire, Ă©conomique et monĂ©taire tout en dĂ©truisant les conditions du consensus national en croyant les renforcer. La dĂ©ception risque dâĂȘtre immense. Face Ă ces tendances dĂ©primantes, rappelons-nous nĂ©anmoins les propos quasi-testamentaires de RenĂ© Girard, que sa pensĂ©e apocalyptique a fait ranger, Ă tort, dans la catĂ©gorie des prophĂštes de malheur Lâapocalypse nâannonce pas la fin du monde elle fonde une espĂ©rance. Qui voit tout Ă coup la rĂ©alitĂ© nâest pas dans le dĂ©sespoir absolu de lâimpensĂ© moderne, mais retrouve un monde oĂč les choses ont un sens. LâespĂ©rance nâest possible que si nous osons penser les pĂ©rils de lâheure. Ă condition de sâopposer Ă la fois aux nihilistes, pour qui tout nâest que langage, et aux rĂ©alistes », qui dĂ©nient Ă lâintelligence la capacitĂ© de toucher la vĂ©ritĂ© les gouvernants, les banquiers, les militaires qui prĂ©tendent nous sauver, alors quâils nous enfoncent chaque jour un peu plus dans la dĂ©vastation. Achever Clausewitz, p. 16 » Des gouvernants, banquiers et militaires sont clairement associĂ©s Ă la tĂȘte de lâexĂ©cutif amĂ©ricain et leur rĂ©alisme » nâaugure rien de bon. Quant aux nihilistes pour qui tout nâest que langage, ils sont aussi les propagandistes de la post-vĂ©ritĂ© » relativiste dont ce blogue proposait rĂ©cemment une analyse. Lâheure a-t-elle sonnĂ© ? Comment finira la mandature de Donald Trump ? Un impeachment, mĂ©canisme dâexpulsion lĂ©gale par les membres du CongrĂšs quasi-unanime puisque les deux-tiers des sĂ©nateurs doivent voter la destitution redonnant aux RĂ©publicains, via leur vice-prĂ©sident, ce que le candidat qui avait phagocytĂ© leurs primaires leur avait soufflĂ© ? Voire un assassinat commanditĂ© par des services secrets effarĂ©s par les consĂ©quences sur les intĂ©rĂȘts Ă moyen et long terme de la Nation Ă©tatsunienne de la politique Ă©trangĂšre menĂ©e, ou par un consortium dâentreprises amĂ©ricaines dont la prospĂ©ritĂ© serait durablement compromise par les mesures actuellement dĂ©crĂ©tĂ©es ? Quoi quâil en soit, une question plus importante demeure Ă ce jour sans rĂ©ponse qui viendra susciter lâespĂ©rance et penser les pĂ©rils de lâheure » dans le respect de la vĂ©ritĂ© ? Jean-Marc Bourdin, le 5 fĂ©vrier 2017
rĂ©alisĂ© par Nicolas Picard-Dreyfuss, RaphaĂ«l Lenglet, Christophe Douchandavec CĂ©cile Bois, RaphaĂ«l Lenglet, Mhamed Arezki, Gaya Verneuil, Alix Poisson, Samira Lachhab, Alexandre Varga, Ătienne Martinelli, Clara Antoons Un bel adolescent de 17 ans est retrouvĂ© assassinĂ© en possession d'un gros sachet de cannabis au beau milieu d'un terrain vague. Antoine penche pour un trafic de drogue qui a mal tournĂ©. De son cĂŽtĂ©, Candice s'escrime Ă rassembler les morceaux d'un autocollant dĂ©chirĂ© trouvĂ© dans les poches du garçon, et, Ă sa plus grande surprise, reconstitue un poisson. L'enquĂȘtrice, persuadĂ©e qu'il y a anguille sous roche, ne croit pas avoir affaire Ă un ancien dealer. Elle privilĂ©gie l'hypothĂšse romantique la passion de l'adolescent pour une jeune fille qui l'a quittĂ© pour entrer au sein d'une Ă©glise Ă©vangĂ©liste...
malheur Ă celui par qui le scandale arrive